Près de 1.650 spectateurs ont assisté, samedi 8 et dimanche 9 février, aux concerts de l’Orchestre symphonique d’Orléans intitulés “Le Mythe de Pandore”.
L’Orchestre symphonique d’Orléans (OSO), dirigé par Marius Stieghorst, a ouvert la boîte de Pandore au théâtre d’Orléans, devant un public fasciné : 800 spectateurs samedi 8 et 830 dimanche 9 février. Les 70 musiciens ont exploré le mythe grecque à travers quatre œuvres : Les eaux célestes de Camille Pépin; Prometheus de Franz Liszt; un extrait de La Walkyrie de Richard Wagner. Et, clou du spectacle, La Boîte de Pandore, une création inédite de Julien Joubert.
Pour répondre à cette commande de l’OSO, le compositeur orléanais s’est entouré du comédien et auteur Hugo Zermati pour le texte et de son frère, le musicien Clément Joubert, pour l’orchestration.
“Fantaisie symphonique”
Dans cette “fantaisie symphonique”, les paroles répondent à la musique. L’orchestre est, en quelque sorte, le personnal principal du récit. Il est accompagné par ceux du narrateur (Hugo Zermati) et sa fille, jouée par Emma Benseddik. Le concert débute par le supplice de Prométhée, condamné par Zeus à se faire manger le foie chaque jour parce qu’il a procuré le feu aux humains. Puis se poursuit par la création de Pandore, cette femme magnifique envoyée sur Terre par le dieu des dieux de l’Olympe, avec une boîte contenant tous les maux de l’humanité – colère, maladie, mort, famine… – qu’il lui ordonne de laisser close.
L’ORCHESTRE SYMPHONIQUE D’ORLÉANS A OUVERT LA BOÎTE DE PANDORE DEVANT UN PUBLIC CONQUIS – 09/02/2025
Près de 1.650 spectateurs ont assisté, samedi 8 et dimanche 9 février, aux concerts de
l’Orchestre symphonique d’Orléans intitulés “Le Mythe de Pandore”.
L’Orchestre symphonique d’Orléans (OSO), dirigé par Marius Stieghorst, a ouvert la boîte de Pandore au théâtre d’Orléans, devant un public fasciné : 800 spectateurs
samedi 8 et 830 dimanche 9 février. Les 70 musiciens ont exploré le mythe grecque à travers quatre œuvres : Les eaux célestes de Camille Pépin; Prometheus de Franz Liszt; un extrait de La Walkyrie de Richard Wagner. Et, clou du spectacle, La Boîte de Pandore, une création inédite de
Julien Joubert.
Pour répondre à cette commande de l’OSO, le compositeur orléanais s’est entouré du comédien et auteur Hugo Zermati pour le texte et de son frère, le musicien Clément
Joubert, pour l’orchestration.
“Fantaisie symphonique”
Dans cette “fantaisie symphonique”, les paroles répondent à la musique. L’orchestre est, en quelque sorte, le personnal principal du récit. Il est accompagné par ceux du
narrateur (Hugo Zermati) et sa fille, jouée par Emma Benseddik. Le concert débute par le supplice de Prométhée, condamné par Zeus à se faire manger le foie chaque jour parce qu’il a procuré le feu aux humains. Puis se poursuit par la création de Pandore, cette femme magnifique envoyée sur Terre par le dieu des dieux de l’Olympe, avec une boîte contenant tous les maux de l’humanité – colère, maladie,
mort, famine… – qu’il lui ordonne de laisser close.
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