“Un instrument qui fait la taille d’un humain, c’est un peu comme un nouvel ami” : Lorraine Campet, aux côtés de l’Orchestre symphonique d’Orléans – 03 octobre 2025

    Vous êtes ici
  • Accueil
  • Non classé “Un instrument qui fait la taille d’un humain, c’est un peu comme un nouvel ami” : Lorraine Campet, aux côtés de l’Orchestre symphonique d’Orléans – 03 octobre 2025

“Un instrument qui fait la taille d’un humain, c’est un peu comme un nouvel ami” : Lorraine Campet, aux côtés de l’Orchestre symphonique d’Orléans – 03 octobre 2025

15 octobre 2025 com OSO Comments Off

Samedi 4 et dimanche 5 octobre, les musiciens de l’Orchestre symphonique d’Orléans emmènent le public pour une escapade italienne. À leurs côtés, la contrebassiste Lorraine Campet.


Directeur artistique de l’Orchestre symphonique d’Orléans, Marius Stieghorst a le goût de la nouveauté. Pour ces premiers concerts de la saison, samedi 4 et dimanche 5 octobre au théâtre d’Orléans, il invite pour la première fois une contrebassiste à les rejoindre sur scène. Une “Top Level”, première contrebasse solo de l’orchestre de l’opéra de Paris, Lorraine Campet est aussi révélation soliste instrumental des Victoires de la musique classique 2025.

Quelques mots sur votre parcours…

Mes parents sont musiciens, je suis dans le bain depuis toujours… J’ai commencé la contrebasse à 5 ans, un vrai coup de foudre pour cet instrument. J’ai mené des études musicales d’abord à Cergy-Pontoise puis à Paris au CNSM. Je suis ensuite entrée comme co-soliste à l’Orchestre Philharmonique de Radio France. Et maintenant à l’Opéra.

Pourquoi avoir choisi cet instrument ?

Un instrument qui fait la taille d’un humain, c’est très attirant, un peu comme un nouvel ami. Je trouvais que c’était un bel instrument, avec ses sonorités graves ; et le fait qu’il soit moins connu, moins vu me plaisait aussi.
Ce que j’aime, c’est sa douceur, sa rondeur. Et aussi son rôle. C’est un instrument qui supporte et accompagne les autres et, en même temps, quand il décide de se mettre à chanter, c’est vraiment magnifique. C’est comme un violoncelle mais avec plus de richesse, plus de profondeur.

Par Julie Poulet-Sevestre

Lire la suite sur La République du Centre